Les 5 ans de Rémy

12 octobre 2008

1^ère fête d’anniversaire pour Rémy, 5 ans, dernière ligne droite avant l’entrée à l’école pour septembre 2009. Oui, je le redis pour la inième fois, l’école ici, il faut avoir 5 ans le 30 sept, et comme Rémy est du 10 octobre, il « perd » une année, mais bon, je ne sais pas si on peux employé le mot perdre, car je le vois qu’il n’aurais pas était tout à fait prêt. Il a besoin de bouger et jouer beaucoup, alors il va avoir toute l’année pour se préparer qu’à l’école, on travaille, et moins de jeu.

Sa fête a était sur le thème du Hockey, obligé……pis ça change un peu des camions.

Sa douillette de son lit était dû, il l’avait depuis qu’il est dans un grand lit, celle que Nancy avait, qui faisait garçon d’ailleurs, car Nancy adoré Bob le Bricoleur, pis Rémy avait donc récupérer cette douillette. J’étais tannée de la voir, alors j’ai voulu changer. Bien évidemment, ce n’est pas le premier choix de Rémy, car il nous avait dit qu’il voulait Spiderman, mais bon, tout est sur ça, chaussure, chaussettes, slip, chandail……pis une douillette, lolll, ça reste, alors nous avons décidé de prendre sur le Hockey. Il avait déjà le drapeau dans sa chambre, donc comme ça, ça lui fait une belle p’tite chambre de jeune homme. Il en est content pareil, le chat aussi d’ailleurs……

En plus, jeudi matin, il me dit « Maman, j’ai pris une décision, comme demain, je vais être grand, et bien, je ne veux plus de doudou, plus de nainain…. ». Et vendredi matin, il me le redit « Ça y est, j’ai 5 ans, je veux plus de doudou…. ». Alors là, je lui dis que je vais faire son lit, ranger sa chambre, pis que je vais ranger les doudous……ben oui lolll, c’est comme bien tombé tout ça.

En rentrant le soir, il avait une petite chasse au trésor à faire, les indices, un cadeau dehors, à un endroit qu'il aime bien (le truck de son papa, nous avions caché un cadeau en avant), pis un cadeau à l'intérieur. Donc il a penser de suite que c'était caché dans sa chambre, pis quand il a ouvert, c'était la surprise. J'avais tout changé, l'emplacement de son lit, donc il ne pouvait pas ne rien remarquer.